The descent 2
Sorti le 14 octobre dernier, le film d’horreur « The descent 2 » du réalisateur Jon Harris fait revivre une nouvelle fois le plaisir des sursauts sur le siège de cinéma.
Rescapée de l’expédition spéléologique de « The descent » (sorti en 2005, de Neil Marshall), Sarah émerge seule des grottes des Appalaches aux États-Unis, traumatisée par les événements. Vingt-quatre heures plus tard, le shérif local l’oblige à redescendre sous terre afin de guider l’équipe de secours qui cherche désespérément ses cinq amies disparues. Alors que le groupe s’enfonce dans les profondeurs, Sarah commence à réaliser toute l’horreur de cette mission.
Le danger qui les guette, tapi dans les ténèbres de la grotte, est encore plus féroce que celui auquel Sarah a survécu.
Pendant une heure trente, le réalisateur nous emmène alors dans un labyrinthe claustrophobique effrayant qui n’aura de cesse de nous rappeler qu’il y a toujours un monstre de caché dans l’ombre. Il sait le faire avec justesse et frappe à chaque fois dans le mille. Que se soit Shauna Macdonald, Natalie Jackson Mendoza, ou encore Krysten Cummings, tous interprètent leur rôle à merveille.
« The descent 2 » fonctionne parfaitement en matière de suspense et de frisson et cherche finalement qu’à nous divertir et nous plonger au plus profond des peurs des personnages.
J’étais très curieuse de voir The Descent 2, car j’aime beaucoup les films d’horreur.
J’avais eu des échos comme quoi le premier The Descent était « trop » bien et qu’il faisait bien peur.
Cependant j’ai été très déçue en sortant de la salle de cinéma. Je ne m’attendais pas du tout à ces effets spéciaux qui paraissaient tellement irréels.
Les « monstres » paraissaient surnaturels, c’est pourquoi le film du genre horreur devenait presque comique.
J’ai été surprise seulement une fois tout au long du film, c’est-à-dire pendant une heure et demie ! Il n’y avait vraiment pas de suspense, l’apparition des monstres était trop transparente. On savait à chaque fois où et quand ils allaient apparaître.